samedi 28 août 2010

Je mange des chats.

J'aime errer seul dans la rue la nuit, à la recherche d'un chat de gouttière. Quand j'en ai repéré un bien gros, bien gras, généralement je m'arrache la viande de la cuisse avec les dents, puis je prend mon tibia que je casse en deux. Un tibia cassé en deux fait toujours un excellent poignard (petit conseil pour les apprenties génocideurs du tiers monde qui n'ont pas accès à la technologie moderne, et ne maîtrisent même pas encore le bronze).

Je les attire généralement à moi avec du thon en boite Saupiquet. J'attend qu'ils festoient, je prend en général le plus gros (il court moins vite et est généralement moins agréssif). En général je lui grate le dos en signe amicale, avant de LUI PLANTER MON PUTAIN DE TIBIAS DANS LE CRÂNE HEIN. C'est clairement la partie la plus intéressante. En général il se débat, il griffe il tente de mordre. En vain. En effet ce con de chat ne prend jamais en considération un facteur essentiel: nous, la bombe H, on l'a. A ce moment là j'aime chantonner cette musique de mon enfance de Hugues Aufray: Les Crayons de Couleurs.

Généralement quand il commence à arrêter de combattre je lui crache un glaviot dans l'œil droit (très important, jamais le gauche), histoire qu'il comprenne qu'il n'y aura aucune pitié jusqu'à son dernier souffle.

[...]

Quand j'ai fait tout ça, je le scalpe soigneusement, empaille sa peau comme trophée, et je prend ses intestins pour en faire des poches à douilles (j'aime manger des meringues <3).

On s'amuse comme on peut.

mardi 24 août 2010

Du néant de la création d'un blog.

Je suis l'abscence de tout, mais surtout d'intérêt.
Je suis la réussite de l'echec infinie.

Je ne suis qu'une voie sourde muette de plus ici.
Je suis à la masse critique de mon effondrement anal.

J'absorbe tout sans aucune résistance pour le déféquer par l'intérieur.

Je suis, l'Anusidéral.